CONSEIL D'ÉTAT - écoles taurines : vers une bonne décision ?
Lorsqu'on accuse il faut apporter des éléments de droit et des éléments de preuve à partir de faits, ce que le "Comité radicalement anticorrida (Crac) Europe pour la protection de l’enfance " (sic) a été dans l’impossibilité de faire. et pour cause... devant le Conseil d'État, jeudi 24 mars 2019 amenant le représentant de l'État à demander aux magistrats du Conseil - dans ses conclusions - de rejeter l'ensemble des demandes du Crac, donc de confirmer les jugements précedants. Cette organisation liberticide depuis 2016 tente d'obtenir la fermeture des écoles taurines devant les tribunaux administratifs où elle a pris à chaque fois une bonne estocade, d'abord en décembre 2016, puis le 18 mars 2018 devant la juridiction d'appel. La décision des conseillers, statuant en dernier ressort, devrait être prononcée dans trois à quatre semaines. Souhaitons donc que les Écoles attaquées : Béziers Méditerranée, le Centre de Tauromachie de Nîmes et de Catalogne, l'École taurine d'Arles - défendues par l'Union des Villes Taurines Françaises puissent continuer leur enseignement.
Pour les gens qui connaissent des élèves d'écoles taurines ils ont constaté qu'elles sont constituées de jeunes calmes, polis tout a fait équilibrés n'ayant aucune haine envers les toros (ou les vaches). En plus de leurs études, ils apprennent à se contrôler, à analyser une situation. Courage et détermination dans une ambiance de camaraderie ne peut aboutir à en faire de futurs assassins psychopathes et pervers.