BOUILLARGUES A L'HEURE DES COMBATS

13 octobre 2019

BOUILLARGUES A L'HEURE DES COMBATS

L'Aficion peut tirer son chapeau à la Pena taurina "la Embestida" de Bouillargues pour l'organisation et le cartel de sa "Novillada sin cabalos" du dimanche 12 octobre. Une journée commencée le matin par une capea pour des élèves d'écoles taurines dont celle de Béziers (ETBM)

Floriane Bru de l'ETBM

Luis Torez de l'ETBM

C'est dans des arènes pleines placées sue "Non à l'interdiction des Corridas aux mineurs" que les présents ont chanté la Marseillaise après avoir écouté Raphael Ladet de ce groupe de jeunes aficionados Nîmois initiateur du fameux logo "touche pas à ma passion" qui se multiplie sur les réseaux sociaux. Et bravo aux parents qui ont laissé leurs enfants faire une vuelta.

Six becerros à combattre, proche des 3 ans issus de ganaderias différentes : Concha y Sierra, Hubert Yonnet, François André, Fernay y sus hijas, Le Laget et Alain Tardieu. Du bétail naturellement différent qui a souvent donné du fil à retordre aux novilleros.

Christian Parejo face au Concha y Sierra

puis au Fernay

Premier en piste, Christian Parejo de Chiclana apoderé par le Biterrois Tomas Cerqueira face d'abord à un Concha et Sierra puis à un Fernay (1 oreille et saluts). Seule oreille de la tarde le Biterrois d'adoption recevra le trophée du meilleur novillero et le ganadero des Concha y Sierra, Jean-Luc Coutier, le prix du meilleur novillo pour "Pavito".

Tristan Lespigue et son Laget

Puis Tristan Espigue de l'école taurine d'Arles face à un Yonnet (1 avis et saluts), son travail pour son second novillo de la ganaderia du Laget aurait pu lui apporter une oreille pour sa lidia (1 recibir hélas pinché et 1 entière), mais point de mouchoir à la présidence : vuelta et... bronca présidentielle.

Nino Julian avec le François André

Nino Julian du CFT de Nîmes volontaire, face à un "Héritiers de François André" et au Tardieu, eut beaucoup de mal particulièrement avec son second becerro.

Medhi Savalli

A noter Medhi Savalli banderillant le Laget de Tristan Espigue et Thomas Ubeda banderillero de Nino Julian; saluts aux deux. Les burladeros décorés par l'artiste peintre Bruno Eliot.

Du monde pour la remise des trophées à la salle de la Bergerie