Y A DES COUPS DE PIEDS AU C.. QUI SE PERDENT !
Voici une information intéressante du 30 09 2018, trouvée sur un site liberticide et animaliste "Ensemble contre la corrida et les maltraitances animales". Naturellemnt nous la laissons telle quelle. Sachez que l'argumentaire de la SPA reposait sur le fait que l'article du code pénal L 521- 1 n'autoriserait pas les corridas mais uniquement les courses de taureaux. Pour la SPA une course de taureaux consisterait à regarder des taureaux courir au même titre que des chevaux de course, donc sans mise à mort.
"N'ayant toujours aucune nouvelle de la plainte déposée par les avocats de la SPA contre la corrida, nous les avons contactés. C'est avec un grand étonnement qu'ils nous ont appris que leur plainte a tout simplement été classée sans suite par le conseil Constitutionnel ! Nous leur avons exprimé notre grand étonnement d'avoir passé cette information sous silence !
Extrait de la réponse de la SPA :
"Le lundi 6 novembre 2017, la SPA a déposé plainte pour sévices graves contre des toreros, des sociétés organisatrices de corridas et des municipalités françaises devant le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Est mis en cause l'ensemble des actes caractérisant une corrida, de la mutilation du taureau à son exécution, lesquels constituent l’infraction prévue et réprimée à l’article 521-1 alinéa 1er du Code pénal. Les sévices graves définissent dans la loi des actes provoquant des blessures ou la mort d’un animal. Cette incrimination est punie de 2 ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende. Le texte autorise les courses de taureaux qui n’impliquent pas la mort de l’animal contrairement aux corridas.
Malheureusement, notre plainte a été classée sans suite aux motifs que le conseil constitutionnel s’est déjà prononcé sur la question de savoir si l’exception appliquée au courses des Taureaux concernait également les corridas alors même qu’il y avait une mise à mort."
Dommage que cette plainte fut classée sans suite... et non pour procédure abusive.