SÉRÉNITÉ D'UN CÔTÉ, DE L'AUTRE LES VIEUX FANTASMES LIBERTICIDES

Voici deux articles parus dans Rustica de mai-juin 2023. D'un côté la sérénité intellectuelle et culturelle d'une aficionada, de l'autre un liberticide et ses fantasmes, ses jugements de valeurs grossiers vis à vis des aficionados, avec un vocabulaire éculé pour faire frémir dans les chaumières, des affirmations gratuites sans éléments de preuve... Mais là rien de nouveau lorsqu'on est en manque d'arguments.

Comments

[LO TAURE ROGE]

Ci-dessus le commentaire intéressant d'une animaliste Jo Benchetrit ayant le besoin - pour son psychisme morbide - de m'écrire son analyse où la bile tient une bonne place... et où l'injure, sans aucun style d'ailleurs, tient vite du raisonnement... Si cela lui permet de mieux dormir ce soir, nous aurons fait œuvre utile !

[jo]

Amusante votre en-tete d'entété:Défendre et promouvoir la Culture et l'Art Tauromachique en OCCITANIE - Pyrénées-Méditerranée et au-delà. «Vous aimez la corrida ? Sachez la défendre ! vous n’aimez pas la corrida ? Sachez la comprendre !» - Site animé par Hugues Bousquet

ALors analysons : defendre l'indefendable mechanceté est impossible.la jouissance sadiique ne se defend pas.

De plus ceux qui sont contre la corrida ne sont pas dans la reduction à des affects, des goûts et des couleurs, dans la dualité amour/non amour mais dans celle de defendre l'agressé/ne pas le defendre, donc dans courage/lâcheté du laisser faire.

Quant à vous comprendre, vous savez bien que comprendre n'est pas aisé quand il s'agit de personnes pour qui plaisir prévaut sur respect de l'autre et de son integrité. On peut par contre l'analyser, ce qui n'empeche pas de la combattre.La liberté du bourreau doit etre rognée car elle est emprisonnement d'etres innocents qui ne sont pour rien dans son delire.



Voilà, cher Bosquet, de quoi vous faire un peu reflechir. Mission impossible? je ne vous en voudrai pas dene pas mettre ce commentaire car vous n'avez evidemment pas envie de vous mettre une balle ds le pied. ça demande plus de cran, sans doute, que de caler son cul sur un gradin à mater la souffrance qd on est denué d'empathie.